mercredi 26 avril 2017

UN CONDENSÉ D'IDÉES QUI REVIENNENT RÉGULIÈREMENT

LE JEU


- Revenir sur le système des cotes au moins pour les jeux simples.
On désire faire venir les jeunes vers les hippodromes mais ils préfèrent les paris sportifs. Il me semble qu'une des raisons principales vient du fait que la cote évolue jusqu'au départ de la course, voire même après le départ et qu'elle est unique.
Ainsi pour un pari gagnant, vous pouvez valider votre jeu à 8/1 le matin et être payé 3/1 après la course.
Il n'y a que sur les paris hippiques où l'ont retrouve cela. Certes le système mutualisé a prouvé son efficacité mais place au modernisme et au système de cotation en continu. Les taxes et prélèvements ne changeront pas et l'argent de la filière sera préservé mais le parieur pourra enfin gérer son investissement et n'aura plus l'impression d'avoir acheté une pochette surprise en attendant les rapports...
Prenons pour exemple les valeurs boursières. A l'époque la cotation des actions se faisait à " la criée " avec un prix par jour ( comme les courses aujourd'hui ).
Depuis 1987, on est passé à une cotation en continu avec une explosion des volumes dès le début de cette réforme.
Avec cette réforme, on pourrait enfin mettre en place des jeux adaptés à notre ère et répondant à une demande.

- Avoir la possibilité de parier à l'avance et de bénéficier de meilleurs cotes.

Jouer sur les courses plusieurs mois avant leur déroulement.
Organiser des jeux sur les sulkys ou les cravaches d'or, les meilleurs entraîneurs ou encore à l'occasion des différents meetings...

- Rendez les centimes aux turfistes. On estime à près de 40 millions d'euros par année, l'argent non réglé aux joueurs en n'intégrant pas les centimes dans les rapports.

Comment appelez vous cela ?

Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).

Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?

L'ORGANISATION


- Il faut ouvrir les hippodromes.

Permettre aux gens de faire le tour de piste en aménageant des zones sécurisées.
Regarder les courses différemment en assistant aux départs, en prenant des photos au pied des obstacles, en se promenant, en pique-niquant, en faisant du sport...
Aujourd'hui, l'espace des hippodromes est très loin d'être optimisé. Un aménagement de qualité pourrait amener une nouvelle clientèle.

- Il faut repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.


- Le parieur est le financier des courses françaises.

A cet égard, il réclame légitimement la gratuité de l'entrée des hippodromes.

- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?


Trop de courses étrangères.

Nombreux sont les turfistes qui se plaignent de ses courses fantômes.
Autant les retransmissions de grandes épreuves sont légitimes (Elitlopett, Ascot, Dubai, Breeders...), autant certaines réunions sont à bannir.
Accord des maisons mères ou pas.

COMMUNICATION 



 - Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.


- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.


- Obliger l’entraîneur à communiquer vers le parieur.

Trop de professionnels refusent de parler aux journalistes, ce qui pénalise le turfiste et la filière.
A la déclaration des partants, l'entraîneur donne une note, selon un barème défini, sur l'état de forme de ses partants.
Note visible gratuitement sur les sites Le Trot et France Galop garants d'une bonne information.
Aucune intervention des médias, donc aucune raison de se cacher.
Vous voulez relancer les enjeux, alors donnez de la matière au public.

Les parieurs sont également en manque de renseignements en ce qui concerne le profil des hippodromes, les futurs engagements, les bons de priorités (au trot), le bonnet fermé (au trot), les chronos et les temps de passage.

- L'émission Kaleïdoscope diffusée il y a quelques années sur Equidia est regrettée.
Elle permettait de revoir les courses différemment à travers des ralentis, des gros plans et des images insolites.
Elle faisait la joie des turfistes et des néophytes.







mardi 11 avril 2017

IDÉES RÉCOLTÉES


LE JEU

- Obliger l’entraîneur à communiquer vers le parieur.
Trop de professionnels refusent de parler aux journalistes, ce qui pénalise le turfiste et la filière.
A la déclaration des partants, l'entraîneur donne une note, selon un barème défini, sur l'état de forme de ses partants.
Note visible gratuitement sur les sites Le Trot et France Galop garants d'une bonne information.
Aucune intervention des médias, donc aucune raison de se cacher.

-Une nouvelle fois, le système mutualisé pénalise l'innovation.
Le turfiste ne refuse pas de payer les taxes mais insiste pour pouvoir maîtriser ses paris.
Les cotes aléatoires du PMU vont à l'encontre de cet effet et favorisent l'exode des parieurs.
Au moins pour le jeu simple, la mise en place d'un marché en cotation continue permettrait aux institutions d'offrir des prestations modernes et de coller enfin à l'ère du temps.(paris antepost par exemple).
Le joueur doit être payé à la cote de validation du pari.

L'ORGANISATION

- Il faut ouvrir les hippodromes.
Permettre aux gens de faire le tour de piste en aménageant des zones sécurisées.
Regarder les courses différemment en assistant aux départs, en prenant des photos au pied des obstacles, en se promenant, en pique-niquant, en faisant du sport...
Aujourd'hui, l'espace des hippodromes est très loin d'être optimisé. Un aménagement de qualité pourrait amener une nouvelle clientèle.
Mais cherche t-on à rendre les courses populaires ?

- Economies.
Les courses préparatoires aux grands événements sont trop dotées.
Plusieurs dizaines de milliers d'euros pour des épreuves peu fournies en partants et dont les arrivées sont bien souvent illogiques par leur scénario tronqué.

- Arrêter le massacre.
La récente bévue des professionnels qui ne connaissaient pas leur parcours est inadmissible.
Cessons de croire qu'il s'agit d'une fatalité et mettons tout en oeuvre pour que cela n'arrive plus.
Briefing obligatoire dans le vestiaire et fléchage du parcours pourrait être de bonnes mesures.
Et si le type se trompe encore, une longue suspension sera appliquée...

-Trop de courses étrangères.
Nombreux sont les turfistes qui se plaignent de ses courses fantômes.
Autant les retransmissions de grandes épreuves sont légitimes (Elitlopett, Ascot, Dubai, Breeders...), autant certaines réunions sont à bannir.
Accord PMU ou pas.

LES MÉDIAS

- Certains voudrait supprimer Equidia pour repeupler les hippodromes.
C'est une énorme bêtise, qui aurait pour conséquence immédiate, une nouvelle baisse des enjeux.
Cette chaîne est à l'heure actuelle, la meilleure promotion du monde des courses même si des améliorations peuvent toujours être amenées.









jeudi 14 janvier 2016

IDÉES RÉCOLTÉES EN JANVIER 2016



- Organisation

- Il faut cesser de laisser ces propriétaires courir leurs chevaux dans les grandes épreuves avec le seul but de montrer leurs couleurs.
La seule sélection par le compte en banque doit être revue. On pourrait par exemple privilégier les chevaux qui ont brillé dans les préparatoires comme cela se fait pour le prix d’Amérique.
Je suis également favorable à l'ouverture des groupe 1 aux hongres qui sont très souvent populaires auprès des turfistes.  


mardi 29 décembre 2015

IDÉES RÉCOLTÉES EN DÉCEMBRE 2015

Pari

- J'ai constaté que les rapports du quinté+ désordre était divisé parfois par dix par rapport aux sites concurrents.(epmu compris)
Quand le PMU va t-il s'en rendre compte et arrêter de payer des bonus qui rognent les rapports ?

- Je vois au travers des différents forums et réseaux, les passionnés pronostiquer leur futur gagnant du prix d'Amérique. Les paris anteposts tardent à se mettre en place, c'est bien dommage.
Mais de grâce messieurs les concepteurs, si nous parions plusieurs semaines à l'avance, payez nous à la cote ou nous validons notre pari sinon aucun intérêt.


Média

- J'ai lu récemment des journalistes de Paris Turf implorer Monsieur A. Fabre de bien vouloir renouer le dialogue avec la presse Française.
Je rappelle que ce monsieur n'est pas un cas isolé et que bon nombre de professionnels font également preuve d'un mutisme médiatique pour bien souvent des rancœurs personnelles.












jeudi 12 novembre 2015

IDEES RECOLTEES EN NOVEMBRE 2015

PARIS

- Coup de gueule d'un parieur qui n'en peut plus de ces rapports aléatoires. Devant le peu de volume que génèrent les sites de pari, on finit par jouer contre nous mêmes dès que l'on veut miser une certaine somme.
Mettez 1000 balles sur un cheval et la cote s'écroule...
Au secours !!!

ORGANISATION

- La France a la chance de posséder la pluridisciplinarité.
Elle doit développer cet atout pour attirer les joueurs.
Le niveau des courses est excellent dans les trois disciplines, elle pourrait organiser sur une réunion un prix d'Amérique, un Grand Steeple et un prix de l'Arc de Triomphe. UNIQUE AU MONDE !!!

mardi 6 octobre 2015

IDEES RECOLTEES EN OCTOBRE 2015

ORGANISATION

- Trop de course à 5 partants (et encore nous avons deux, trois entraîneurs avisés qui sont devenus les rois du grattage d'allocations et qui ajoutent un ou deux concurrents )
La faute n'est elle pas due au non sens des programmes.
Nous retrouvons par exemple pour les maidens, courses à conditions, voir listed le même programme à Paris que dans le sud ouest. Résultat 5 ou 6 partants par course, pas d’intérêt pour le parieur donc pas de recette...

On voit régulièrement des chevaux préparer leurs objectifs dans les courses Quinté (qui sont très populaires et génèrent beaucoup d'enjeux).
D'ailleurs certains entraîneurs s'en excusent, indiquant qu'ils n'ont pas le choix des engagements.
Pour la régularité, ne devrait on pas interdire leur participation dans ces événements.
Ne pourrait on pas créer des courses spéciales pour chevaux hors forme ou rentrants (hors PMU bien sur).
La dotation serait certes minime mais ces courses permettront de peaufiner la préparation des chevaux et d'arriver sur les courses PMU en pleine forme. On pourrait pourquoi pas inciter les professionnels à participer à ces épreuves par une baisse plus rapide de la valeur handicap de leur pensionnaire

- Il y a un gros travail de ménage à faire :

Stop aux cadences infernales
Stop aux réunions sans intérêt
Stop à la dilution des enjeux  (opérateurs multiples et cloisonnés) 

Les professionnels pour beaucoup ne sont pas gagnants et les parieurs voient les rapports fondre.

- Afin de faire revenir le turfiste sur les hippodromes parisiens:

Organiser des courses de parieurs régulièrement, pour pouvoir être sur un sulky (avec un pro bien évidemment).
Sécuriser certaines parties du parcours afin que le public voit autre chose que le poteau d'arrivée.
Pouvoir filmer de près le saut du rail ditch devrait amener de nouvelles émotions.

Stephane COSTES a eu un coup de gueule (maîtrisé) contre ces attentes interminables devant les boites de départ et ces entraîneurs qui présentent leurs pensionnaires sans être sûr qu'ils puissent rentrer dans les stalles.

J'avoue être d'accord avec lui, ces attentes polluent notre sport et sont bien trop répétées.
Pour regarder énormément de courses dans le monde entier, je peux vous assurer qu'il s'agit d'un mal bien Français.
Les chevaux anglais par exemple sont parfaitement dressés dès leur plus jeune age et il y a deux binômes pousseurs pour chaque cheval. 
Un animal récalcitrant est très vite déclaré non partant et rentre chez lui. Les courses partent à l'heure, un vrai bonheur.
Il y a peut être des exemples à suivre. 


EN MATIERE DE PARI

- Relooker le quinté + et sa tirelire qui se rapproche plus du loto que des courses.
Pourquoi ne pas bonifier les rapports pour ceux qui trouvent le sixième de l'épreuve au lieu de faire ce tirage au sort stupide qui n'a rien à voir avec l'esprit des courses.

- Le PMU a commencé le partenariat avec certains pays étrangers. Il faut intensifier ce développement et inciter les non-résidents à venir parier sur les courses Françaises. 

- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?



lundi 7 septembre 2015

IDEES RECOLTEES SEPTEMBRE 2015

Voici les idées récoltées jusqu'à présent.
Continuez de me livrer vos propositions pour améliorer notre quotidien, je n'hésiterais pas à les relayer.


COMMUNICATION



- Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.


- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.


- Les professionnels devraient avoir l'obligation de communiquer sur les chances de leurs partants par respect pour le public. France Galop doit intervenir.

Un exemple parmi d'autres à suivre Monsieur Nicolas Caullery qui en plus de répondre aux médias communique également sur les réseaux sociaux et internet.


EN MATIERE DE PARI



- Passer à une cotation en continue (voir article "revenir sur le système des cotes" sur le blog.


- Payer les centimes. 


- Etre exécuté à la meilleure cote proposée sur les différents sites de jeux et quelque soit la localisation de votre compte. Charge aux prestataires de paris de s'arranger à posteriori.

- Pouvoir jouer en live betting.

Aujourd'hui dans la plupart des paris sportifs, on a la possibilité de parier en live, pourquoi ne pas l'appliquer aux courses de chevaux...

- Pouvoir jouer par avance sur les grandes courses afin de bénéficier d'une meilleure cote.
Si dès le mois de juin vous connaissez le vainqueur de l'arc, pourquoi attendre octobre...

- Pouvoir parier en début de saison sur les différentes cravaches d'or, ainsi que sur les meilleurs entraîneurs.

Les anglais parient bien sur la couleur du chapeau de la reine....


ORGANISATION


- Le prix des entrées des hippodromes est discutable, on devrait remboursé le joueur dès son premier pari sinon il paie deux fois. Les propriétaires (deuxième poumon des courses avec le parieur) ont la gratuité de l'entrée et du parking, il faut rétablir l'équité. 


- Repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.


- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?


- Le programme des réunions est à revoir. Trop de courses sans intérêts nous sont proposées. Ne pas privilégier la quantité à la qualité...