mardi 6 octobre 2015

IDEES RECOLTEES EN OCTOBRE 2015

ORGANISATION

- Trop de course à 5 partants (et encore nous avons deux, trois entraîneurs avisés qui sont devenus les rois du grattage d'allocations et qui ajoutent un ou deux concurrents )
La faute n'est elle pas due au non sens des programmes.
Nous retrouvons par exemple pour les maidens, courses à conditions, voir listed le même programme à Paris que dans le sud ouest. Résultat 5 ou 6 partants par course, pas d’intérêt pour le parieur donc pas de recette...

On voit régulièrement des chevaux préparer leurs objectifs dans les courses Quinté (qui sont très populaires et génèrent beaucoup d'enjeux).
D'ailleurs certains entraîneurs s'en excusent, indiquant qu'ils n'ont pas le choix des engagements.
Pour la régularité, ne devrait on pas interdire leur participation dans ces événements.
Ne pourrait on pas créer des courses spéciales pour chevaux hors forme ou rentrants (hors PMU bien sur).
La dotation serait certes minime mais ces courses permettront de peaufiner la préparation des chevaux et d'arriver sur les courses PMU en pleine forme. On pourrait pourquoi pas inciter les professionnels à participer à ces épreuves par une baisse plus rapide de la valeur handicap de leur pensionnaire

- Il y a un gros travail de ménage à faire :

Stop aux cadences infernales
Stop aux réunions sans intérêt
Stop à la dilution des enjeux  (opérateurs multiples et cloisonnés) 

Les professionnels pour beaucoup ne sont pas gagnants et les parieurs voient les rapports fondre.

- Afin de faire revenir le turfiste sur les hippodromes parisiens:

Organiser des courses de parieurs régulièrement, pour pouvoir être sur un sulky (avec un pro bien évidemment).
Sécuriser certaines parties du parcours afin que le public voit autre chose que le poteau d'arrivée.
Pouvoir filmer de près le saut du rail ditch devrait amener de nouvelles émotions.

Stephane COSTES a eu un coup de gueule (maîtrisé) contre ces attentes interminables devant les boites de départ et ces entraîneurs qui présentent leurs pensionnaires sans être sûr qu'ils puissent rentrer dans les stalles.

J'avoue être d'accord avec lui, ces attentes polluent notre sport et sont bien trop répétées.
Pour regarder énormément de courses dans le monde entier, je peux vous assurer qu'il s'agit d'un mal bien Français.
Les chevaux anglais par exemple sont parfaitement dressés dès leur plus jeune age et il y a deux binômes pousseurs pour chaque cheval. 
Un animal récalcitrant est très vite déclaré non partant et rentre chez lui. Les courses partent à l'heure, un vrai bonheur.
Il y a peut être des exemples à suivre. 


EN MATIERE DE PARI

- Relooker le quinté + et sa tirelire qui se rapproche plus du loto que des courses.
Pourquoi ne pas bonifier les rapports pour ceux qui trouvent le sixième de l'épreuve au lieu de faire ce tirage au sort stupide qui n'a rien à voir avec l'esprit des courses.

- Le PMU a commencé le partenariat avec certains pays étrangers. Il faut intensifier ce développement et inciter les non-résidents à venir parier sur les courses Françaises. 

- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?



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