- Revenir sur le système des cotes au moins pour les jeux simples.
On désire faire venir les jeunes vers les hippodromes mais ils préfèrent les paris sportifs. Il me semble qu'une des raisons principales vient du fait que la cote évolue jusqu'au départ de la course, voire même après le départ et qu'elle est unique.
Ainsi pour un pari gagnant, vous pouvez valider votre jeu à 8/1 le matin et être payé 3/1 après la course.
On désire faire venir les jeunes vers les hippodromes mais ils préfèrent les paris sportifs. Il me semble qu'une des raisons principales vient du fait que la cote évolue jusqu'au départ de la course, voire même après le départ et qu'elle est unique.
Ainsi pour un pari gagnant, vous pouvez valider votre jeu à 8/1 le matin et être payé 3/1 après la course.
Il n'y a que sur les paris hippiques où l'ont retrouve cela. Certes le système mutualisé a prouvé son efficacité mais place au modernisme et au système de cotation en continu. Les taxes et prélèvements ne changeront pas et l'argent de la filière sera préservé mais le parieur pourra enfin gérer son investissement et n'aura plus l'impression d'avoir acheté une pochette surprise en attendant les rapports...
Prenons pour exemple les valeurs boursières. A l'époque la cotation des actions se faisait à " la criée " avec un prix par jour ( comme les courses aujourd'hui ).
Depuis 1987, on est passé à une cotation en continu avec une explosion des volumes dès le début de cette réforme.
Avec cette réforme, on pourrait enfin mettre en place des jeux adaptés à notre ère et répondant à une demande.
- Avoir la possibilité de parier à l'avance et de bénéficier de meilleurs cotes.
Jouer sur les courses plusieurs mois avant leur déroulement.
Organiser des jeux sur les sulkys ou les cravaches d'or, les meilleurs entraîneurs ou encore à l'occasion des différents meetings...
- Rendez les centimes aux turfistes. On estime à près de 40 millions d'euros par année, l'argent non réglé aux joueurs en n'intégrant pas les centimes dans les rapports.
Comment appelez vous cela ?
- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?
L'ORGANISATION
- Il faut ouvrir les hippodromes.
Permettre aux gens de faire le tour de piste en aménageant des zones sécurisées.
Regarder les courses différemment en assistant aux départs, en prenant des photos au pied des obstacles, en se promenant, en pique-niquant, en faisant du sport...
Aujourd'hui, l'espace des hippodromes est très loin d'être optimisé. Un aménagement de qualité pourrait amener une nouvelle clientèle.
- Il faut repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.
- Le parieur est le financier des courses françaises.
A cet égard, il réclame légitimement la gratuité de l'entrée des hippodromes.
- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?
- Trop de courses étrangères.
Nombreux sont les turfistes qui se plaignent de ses courses fantômes.
Autant les retransmissions de grandes épreuves sont légitimes (Elitlopett, Ascot, Dubai, Breeders...), autant certaines réunions sont à bannir.
Accord des maisons mères ou pas.
COMMUNICATION
- Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.
- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.
- Obliger l’entraîneur à communiquer vers le parieur.
Trop de professionnels refusent de parler aux journalistes, ce qui pénalise le turfiste et la filière.
A la déclaration des partants, l'entraîneur donne une note, selon un barème défini, sur l'état de forme de ses partants.
Note visible gratuitement sur les sites Le Trot et France Galop garants d'une bonne information.
Aucune intervention des médias, donc aucune raison de se cacher.
Vous voulez relancer les enjeux, alors donnez de la matière au public.
Depuis 1987, on est passé à une cotation en continu avec une explosion des volumes dès le début de cette réforme.
Avec cette réforme, on pourrait enfin mettre en place des jeux adaptés à notre ère et répondant à une demande.
- Avoir la possibilité de parier à l'avance et de bénéficier de meilleurs cotes.
Jouer sur les courses plusieurs mois avant leur déroulement.
Organiser des jeux sur les sulkys ou les cravaches d'or, les meilleurs entraîneurs ou encore à l'occasion des différents meetings...
- Rendez les centimes aux turfistes. On estime à près de 40 millions d'euros par année, l'argent non réglé aux joueurs en n'intégrant pas les centimes dans les rapports.
Comment appelez vous cela ?
- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?
L'ORGANISATION
- Il faut ouvrir les hippodromes.
Permettre aux gens de faire le tour de piste en aménageant des zones sécurisées.
Regarder les courses différemment en assistant aux départs, en prenant des photos au pied des obstacles, en se promenant, en pique-niquant, en faisant du sport...
Aujourd'hui, l'espace des hippodromes est très loin d'être optimisé. Un aménagement de qualité pourrait amener une nouvelle clientèle.
- Il faut repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.
- Le parieur est le financier des courses françaises.
A cet égard, il réclame légitimement la gratuité de l'entrée des hippodromes.
- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?
- Trop de courses étrangères.
Nombreux sont les turfistes qui se plaignent de ses courses fantômes.
Autant les retransmissions de grandes épreuves sont légitimes (Elitlopett, Ascot, Dubai, Breeders...), autant certaines réunions sont à bannir.
Accord des maisons mères ou pas.
COMMUNICATION
- Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.
- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.
- Obliger l’entraîneur à communiquer vers le parieur.
Trop de professionnels refusent de parler aux journalistes, ce qui pénalise le turfiste et la filière.
A la déclaration des partants, l'entraîneur donne une note, selon un barème défini, sur l'état de forme de ses partants.
Note visible gratuitement sur les sites Le Trot et France Galop garants d'une bonne information.
Aucune intervention des médias, donc aucune raison de se cacher.
Vous voulez relancer les enjeux, alors donnez de la matière au public.
- Les parieurs sont également en manque de renseignements en ce qui concerne le profil des hippodromes, les futurs engagements, les bons de priorités (au trot), le bonnet fermé (au trot), les chronos et les temps de passage.
- L'émission Kaleïdoscope diffusée il y a quelques années sur Equidia est regrettée.
Elle permettait de revoir les courses différemment à travers des ralentis, des gros plans et des images insolites.
Elle faisait la joie des turfistes et des néophytes.
Elle permettait de revoir les courses différemment à travers des ralentis, des gros plans et des images insolites.
Elle faisait la joie des turfistes et des néophytes.