Pari
- J'ai constaté que les rapports du quinté+ désordre était divisé parfois par dix par rapport aux sites concurrents.(epmu compris)
Quand le PMU va t-il s'en rendre compte et arrêter de payer des bonus qui rognent les rapports ?
- Je vois au travers des différents forums et réseaux, les passionnés pronostiquer leur futur gagnant du prix d'Amérique. Les paris anteposts tardent à se mettre en place, c'est bien dommage.
Mais de grâce messieurs les concepteurs, si nous parions plusieurs semaines à l'avance, payez nous à la cote ou nous validons notre pari sinon aucun intérêt.
Média
- J'ai lu récemment des journalistes de Paris Turf implorer Monsieur A. Fabre de bien vouloir renouer le dialogue avec la presse Française.
Je rappelle que ce monsieur n'est pas un cas isolé et que bon nombre de professionnels font également preuve d'un mutisme médiatique pour bien souvent des rancœurs personnelles.
Ce blog a été créé pour récolter vos idées sur le fonctionnement des courses hippiques françaises. Suite à la parodie de quinté du 05/03/2017 il a été également décidé d'essayer de regrouper les parieurs, principaux financiers de la filière, qui ne peuvent actuellement se faire entendre. Le compte twitter "ideeturf" a été ouvert à cet effet et une méthode infaillible pour ne plus jamais perdre le moindre euro vous sera livrée gracieusement si le nombre d'abonnés est jugé suffisant pour réagir.
mardi 29 décembre 2015
jeudi 12 novembre 2015
IDEES RECOLTEES EN NOVEMBRE 2015
PARIS
- Coup de gueule d'un parieur qui n'en peut plus de ces rapports aléatoires. Devant le peu de volume que génèrent les sites de pari, on finit par jouer contre nous mêmes dès que l'on veut miser une certaine somme.
Mettez 1000 balles sur un cheval et la cote s'écroule...
Au secours !!!
ORGANISATION
- La France a la chance de posséder la pluridisciplinarité.
Elle doit développer cet atout pour attirer les joueurs.
Le niveau des courses est excellent dans les trois disciplines, elle pourrait organiser sur une réunion un prix d'Amérique, un Grand Steeple et un prix de l'Arc de Triomphe. UNIQUE AU MONDE !!!
- Coup de gueule d'un parieur qui n'en peut plus de ces rapports aléatoires. Devant le peu de volume que génèrent les sites de pari, on finit par jouer contre nous mêmes dès que l'on veut miser une certaine somme.
Mettez 1000 balles sur un cheval et la cote s'écroule...
Au secours !!!
ORGANISATION
- La France a la chance de posséder la pluridisciplinarité.
Elle doit développer cet atout pour attirer les joueurs.
Le niveau des courses est excellent dans les trois disciplines, elle pourrait organiser sur une réunion un prix d'Amérique, un Grand Steeple et un prix de l'Arc de Triomphe. UNIQUE AU MONDE !!!
mardi 6 octobre 2015
IDEES RECOLTEES EN OCTOBRE 2015
ORGANISATION
- Trop de course à 5 partants (et encore nous avons deux, trois entraîneurs avisés qui sont devenus les rois du grattage d'allocations et qui ajoutent un ou deux concurrents )
La faute n'est elle pas due au non sens des programmes.
Nous retrouvons par exemple pour les maidens, courses à conditions, voir listed le même programme à Paris que dans le sud ouest. Résultat 5 ou 6 partants par course, pas d’intérêt pour le parieur donc pas de recette...
- On voit régulièrement des chevaux préparer leurs objectifs dans les courses Quinté (qui sont très populaires et génèrent beaucoup d'enjeux).
D'ailleurs certains entraîneurs s'en excusent, indiquant qu'ils n'ont pas le choix des engagements.
Pour la régularité, ne devrait on pas interdire leur participation dans ces événements.
Ne pourrait on pas créer des courses spéciales pour chevaux hors forme ou rentrants (hors PMU bien sur).
La dotation serait certes minime mais ces courses permettront de peaufiner la préparation des chevaux et d'arriver sur les courses PMU en pleine forme. On pourrait pourquoi pas inciter les professionnels à participer à ces épreuves par une baisse plus rapide de la valeur handicap de leur pensionnaire
- Il y a un gros travail de ménage à faire :
Stop aux cadences infernales
Stop aux réunions sans intérêt
Stop à la dilution des enjeux (opérateurs multiples et cloisonnés)
Les professionnels pour beaucoup ne sont pas gagnants et les parieurs voient les rapports fondre.
- Afin de faire revenir le turfiste sur les hippodromes parisiens:
Organiser des courses de parieurs régulièrement, pour pouvoir être sur un sulky (avec un pro bien évidemment).
Sécuriser certaines parties du parcours afin que le public voit autre chose que le poteau d'arrivée.
Pouvoir filmer de près le saut du rail ditch devrait amener de nouvelles émotions.
- Stephane COSTES a eu un coup de gueule (maîtrisé) contre ces attentes interminables devant les boites de départ et ces entraîneurs qui présentent leurs pensionnaires sans être sûr qu'ils puissent rentrer dans les stalles.
J'avoue être d'accord avec lui, ces attentes polluent notre sport et sont bien trop répétées.
Pour regarder énormément de courses dans le monde entier, je peux vous assurer qu'il s'agit d'un mal bien Français.
Les chevaux anglais par exemple sont parfaitement dressés dès leur plus jeune age et il y a deux binômes pousseurs pour chaque cheval.
Un animal récalcitrant est très vite déclaré non partant et rentre chez lui. Les courses partent à l'heure, un vrai bonheur.
Il y a peut être des exemples à suivre.
EN MATIERE DE PARI
- Relooker le quinté + et sa tirelire qui se rapproche plus du loto que des courses.
Pourquoi ne pas bonifier les rapports pour ceux qui trouvent le sixième de l'épreuve au lieu de faire ce tirage au sort stupide qui n'a rien à voir avec l'esprit des courses.
- Le PMU a commencé le partenariat avec certains pays étrangers. Il faut intensifier ce développement et inciter les non-résidents à venir parier sur les courses Françaises.
- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?
- Trop de course à 5 partants (et encore nous avons deux, trois entraîneurs avisés qui sont devenus les rois du grattage d'allocations et qui ajoutent un ou deux concurrents )
La faute n'est elle pas due au non sens des programmes.
Nous retrouvons par exemple pour les maidens, courses à conditions, voir listed le même programme à Paris que dans le sud ouest. Résultat 5 ou 6 partants par course, pas d’intérêt pour le parieur donc pas de recette...
- On voit régulièrement des chevaux préparer leurs objectifs dans les courses Quinté (qui sont très populaires et génèrent beaucoup d'enjeux).
D'ailleurs certains entraîneurs s'en excusent, indiquant qu'ils n'ont pas le choix des engagements.
Pour la régularité, ne devrait on pas interdire leur participation dans ces événements.
Ne pourrait on pas créer des courses spéciales pour chevaux hors forme ou rentrants (hors PMU bien sur).
La dotation serait certes minime mais ces courses permettront de peaufiner la préparation des chevaux et d'arriver sur les courses PMU en pleine forme. On pourrait pourquoi pas inciter les professionnels à participer à ces épreuves par une baisse plus rapide de la valeur handicap de leur pensionnaire
- Il y a un gros travail de ménage à faire :
Stop aux cadences infernales
Stop aux réunions sans intérêt
Stop à la dilution des enjeux (opérateurs multiples et cloisonnés)
Les professionnels pour beaucoup ne sont pas gagnants et les parieurs voient les rapports fondre.
- Afin de faire revenir le turfiste sur les hippodromes parisiens:
Organiser des courses de parieurs régulièrement, pour pouvoir être sur un sulky (avec un pro bien évidemment).
Sécuriser certaines parties du parcours afin que le public voit autre chose que le poteau d'arrivée.
Pouvoir filmer de près le saut du rail ditch devrait amener de nouvelles émotions.
- Stephane COSTES a eu un coup de gueule (maîtrisé) contre ces attentes interminables devant les boites de départ et ces entraîneurs qui présentent leurs pensionnaires sans être sûr qu'ils puissent rentrer dans les stalles.
J'avoue être d'accord avec lui, ces attentes polluent notre sport et sont bien trop répétées.
Pour regarder énormément de courses dans le monde entier, je peux vous assurer qu'il s'agit d'un mal bien Français.
Les chevaux anglais par exemple sont parfaitement dressés dès leur plus jeune age et il y a deux binômes pousseurs pour chaque cheval.
Un animal récalcitrant est très vite déclaré non partant et rentre chez lui. Les courses partent à l'heure, un vrai bonheur.
Il y a peut être des exemples à suivre.
EN MATIERE DE PARI
- Relooker le quinté + et sa tirelire qui se rapproche plus du loto que des courses.
Pourquoi ne pas bonifier les rapports pour ceux qui trouvent le sixième de l'épreuve au lieu de faire ce tirage au sort stupide qui n'a rien à voir avec l'esprit des courses.
- Le PMU a commencé le partenariat avec certains pays étrangers. Il faut intensifier ce développement et inciter les non-résidents à venir parier sur les courses Françaises.
- Trop de chevaux font le tour ( ne pas défendre l'argent du parieur).
Avec les progrès de l'audiovisuel, (on peut désormais observer les poils de nez des jockeys durant la course) comment se fait il que cela reste impuni ?
lundi 7 septembre 2015
IDEES RECOLTEES SEPTEMBRE 2015
Voici les idées récoltées jusqu'à présent.
Continuez de me livrer vos propositions pour améliorer notre quotidien, je n'hésiterais pas à les relayer.
COMMUNICATION
- Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.
- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.
- Les professionnels devraient avoir l'obligation de communiquer sur les chances de leurs partants par respect pour le public. France Galop doit intervenir.
Un exemple parmi d'autres à suivre Monsieur Nicolas Caullery qui en plus de répondre aux médias communique également sur les réseaux sociaux et internet.
EN MATIERE DE PARI
- Passer à une cotation en continue (voir article "revenir sur le système des cotes" sur le blog.
- Payer les centimes.
- Etre exécuté à la meilleure cote proposée sur les différents sites de jeux et quelque soit la localisation de votre compte. Charge aux prestataires de paris de s'arranger à posteriori.
- Pouvoir jouer en live betting.
Aujourd'hui dans la plupart des paris sportifs, on a la possibilité de parier en live, pourquoi ne pas l'appliquer aux courses de chevaux...
- Pouvoir jouer par avance sur les grandes courses afin de bénéficier d'une meilleure cote.
Si dès le mois de juin vous connaissez le vainqueur de l'arc, pourquoi attendre octobre...
- Pouvoir parier en début de saison sur les différentes cravaches d'or, ainsi que sur les meilleurs entraîneurs.
Les anglais parient bien sur la couleur du chapeau de la reine....
ORGANISATION
- Le prix des entrées des hippodromes est discutable, on devrait remboursé le joueur dès son premier pari sinon il paie deux fois. Les propriétaires (deuxième poumon des courses avec le parieur) ont la gratuité de l'entrée et du parking, il faut rétablir l'équité.
- Repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.
- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?
- Le programme des réunions est à revoir. Trop de courses sans intérêts nous sont proposées. Ne pas privilégier la quantité à la qualité...
Continuez de me livrer vos propositions pour améliorer notre quotidien, je n'hésiterais pas à les relayer.
COMMUNICATION
- Il y a un manque de publicité pour annoncer nos événements (sauf pour les grandes courses). On devrait présenter nos réunions avec la même vigueur qu'un match de football.
- Le grand public pense encore que les courses sont "magouille et compagnie". Il faut casser ce préjugé par une grande campagne publicitaire et attirer de nouveaux investisseurs.
- Les professionnels devraient avoir l'obligation de communiquer sur les chances de leurs partants par respect pour le public. France Galop doit intervenir.
Un exemple parmi d'autres à suivre Monsieur Nicolas Caullery qui en plus de répondre aux médias communique également sur les réseaux sociaux et internet.
EN MATIERE DE PARI
- Passer à une cotation en continue (voir article "revenir sur le système des cotes" sur le blog.
- Payer les centimes.
- Etre exécuté à la meilleure cote proposée sur les différents sites de jeux et quelque soit la localisation de votre compte. Charge aux prestataires de paris de s'arranger à posteriori.
- Pouvoir jouer en live betting.
Aujourd'hui dans la plupart des paris sportifs, on a la possibilité de parier en live, pourquoi ne pas l'appliquer aux courses de chevaux...
- Pouvoir jouer par avance sur les grandes courses afin de bénéficier d'une meilleure cote.
Si dès le mois de juin vous connaissez le vainqueur de l'arc, pourquoi attendre octobre...
- Pouvoir parier en début de saison sur les différentes cravaches d'or, ainsi que sur les meilleurs entraîneurs.
Les anglais parient bien sur la couleur du chapeau de la reine....
ORGANISATION
- Le prix des entrées des hippodromes est discutable, on devrait remboursé le joueur dès son premier pari sinon il paie deux fois. Les propriétaires (deuxième poumon des courses avec le parieur) ont la gratuité de l'entrée et du parking, il faut rétablir l'équité.
- Repeupler les hippodromes parisiens. Le seul spectacle des courses n'attirent plus le public et ce n'est pas en proposant un tour de manège ou de poney que cela va changer. Pourquoi ne pas présenter différents spectacles ( sportifs, culturels, artistiques...) durant les réunions.
- L'attente entre les courses est trop longue pour le non initié qui finit par s'ennuyer. Pourquoi les professionnels qui n'ont pas de partant à seller n'iraient pas plus souvent vers eux pour leur transmettre leur passion et les fidéliser ?
- Le programme des réunions est à revoir. Trop de courses sans intérêts nous sont proposées. Ne pas privilégier la quantité à la qualité...
mardi 21 juillet 2015
REVENIR SUR LE SYSTEME DES COTES
On désire faire venir les jeunes vers les hippodromes mais ils préfèrent les paris sportifs. Il me semble qu'une des raisons principales vient du fait que la cote évolue jusqu'au départ de la course, voire même après le départ et qu'elle est unique.
Ainsi pour un pari gagnant, vous pouvez valider votre jeu à 8/1 le matin et être payé 3/1 après la course.
Ainsi pour un pari gagnant, vous pouvez valider votre jeu à 8/1 le matin et être payé 3/1 après la course.
Il n'y a que sur les paris hippiques où l'ont retrouve cela. Certes le système mutualisé a prouvé son efficacité mais place au modernisme et au système de cotation en continu. Les taxes et prélèvements ne changeront pas et l'argent de la filière sera préservé mais le parieur connaîtra enfin la valeur de son investissement et n'aura plus l'impression d'avoir acheté une pochette surprise en attendant les rapports...
Prenons pour exemple les valeurs boursières. A l'époque la cotation des actions se faisait à " la criée " avec un prix par jour ( comme les courses aujourd'hui ).
Depuis 1987, on est passé à une cotation en continu avec une explosion des volumes dès le début de cette réforme.
Je sais qu'il est difficile de modifier ce qui fonctionne mais l'ouverture des frontières et le développement incessant des moyens de communication font que nous devons rester vigilants et apporter sans cesse des améliorations à notre système.
Avec internet, les autorités ne pourront bientôt plus contenir la concurrence étrangère et nous risquons une grave crise si nos joueurs venaient à partir ailleurs.
Mieux vaut être dans le train que de le regarder passer...
Depuis 1987, on est passé à une cotation en continu avec une explosion des volumes dès le début de cette réforme.
Je sais qu'il est difficile de modifier ce qui fonctionne mais l'ouverture des frontières et le développement incessant des moyens de communication font que nous devons rester vigilants et apporter sans cesse des améliorations à notre système.
Avec internet, les autorités ne pourront bientôt plus contenir la concurrence étrangère et nous risquons une grave crise si nos joueurs venaient à partir ailleurs.
Mieux vaut être dans le train que de le regarder passer...
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